Un engagement durable au cœur de la communauté

Port Louis, le 22 avril 2025 : Vivo Energy Mauritius, détentrice de la franchise Shell à Maurice, renforce son engagement communautaire avec l’inauguration d’un potager aquaponique autonome en énergie au Mount Ory Social Welfare Centre. Cette inauguration marque le début d’une nouvelle série d’installations similaires à travers le pays. 

Le développement durable constitue un pilier fondamental dans la stratégie du groupe Vivo Energy, avec une attention particulière portée aux besoins spécifiques des territoires. Le projet de potager aquaponique autonome en énergie répond à trois priorités : amélioration de la nutrition, préservation de l’environnement et renforcement l’autonomie des communautés.

En intégrant l’agriculture circulaire aux énergies renouvelables, Vivo Energy Mauritius propose une réponse adaptée aux défis contemporains, notamment le renforcement de la sécurité alimentaire, l’optimisation de la gestion des ressources et la sensibilisation à l’environnement. L’objectif est de développer des modèles reproductibles, adaptés aux réalités locales et générateur d’impact durable.

« À travers cet espace, nous repensons l’agriculture en y intégrant des solutions d’avenir. L’aquaponie, qui associe élevage de poissons et culture de végétaux, représente une application réelle de l’économie circulaire – une priorité nationale qui prend ici tout son sens. Ce projet démontre que l’économie circulaire n’est pas une idée lointaine, mais une réalité vivante, productive et accessible », a souligné Fouad Khfifi, Managing Director de Vivo Energy Mauritius, lors de l’inauguration.

Une symbiose entre secteur public, privé et société civile

L’événement s’est déroulé en présence d’Arvin Boolell, ministre de l’Agro-industrie, de la Sécurité alimentaire, de l’Économie bleue et de la Pêche, qui a salué cette collaboration intersectorielle. « Dans un contexte d’urgence alimentaire, il devient essentiel de produire ce que nous consommons et de consommer ce que nous produisons. Je félicite Vivo Energy Mauritius car une telle initiative ouvre la voie vers une agriculture durable et contribue à faire émerger une nouvelle génération d’agro-entrepreneurs engagés et conscients des enjeux écologiques. »

La ministre Arianne Navarre-Marie, ministre de l’Égalité des Genres et du Bien-Être de la Famille également présente, a ajouté : « cette ferme aquaponique incarne une réponse concrète aux enjeux d’autonomie alimentaire et de résilience communautaire. Une initiative porteuse de sens, rendue possible grâce au soutien de Vivo Energy Mauritius et à une collaboration exemplaire au service du bien commun. »

Ce projet s’inscrit dans la continuité des initiatives RSE en faveur de l’agriculture durable : dix potagers aquaponiques ont déjà été installés depuis 2021, six nouvelles unités prévues dont celle du Mount Ory représente la première en collaboration avec Leal Energie, pour l’équipement de kits solaires sur tous les sites.

 « L’installation de ce kit solaire permettra aux bénéficiaires de réaliser jusqu’à Rs 10,000 d’économies par an, tout en évitant l’émission de 950 kg de CO₂. C’est une avancée concrète qui réduit les charges énergétiques, limite l’empreinte carbone et renforce l’autonomie des structures communautaires », précise Eric Leal, CEO de Leal Energie.

Les légumes produits (bok choy, pet-saï, laitue et fines herbes, entre autres) sont distribués au sein de la communauté, pour améliorer la qualité nutritionnelle des repas des bénéficiaires et servir d’outil pédagogique et de sensibilisation à une alimentation durable. 

Nooreza Rozbully, General Worker au centre communautaire bénéficiaire, témoigne : « Nous avons suivi une formation en aquaponie, et j’encourage tout le monde à découvrir ce mode de culture. C’est une manière saine de consommer, avec des légumes toujours à portée de main. Nous invitons le public à venir au centre pour mieux comprendre le fonctionnement d’un potager aquaponique. Nous serons ravis de partager notre expérience ».

Ce modèle innovant sera reproduit cette année dans cinq écoles primaires sélectionnées à l’issue d’un concours. Une manière de renforcer son impact social et environnemental à l’échelle nationale.

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